ridiculousthoughts

rUn awAy .

Vendredi 22 avril 2011 à 21:54

"Les esprits forts, on n'y peut rien, sont toujours en retard d'un train." Tu connais le bout de cette route. Tu y passes tous les matins. De mauvaise humeur, parce que c'est le matin. Même pas l'aube, le soleil est déjà haut. Rien ni personne qui puisse te faire sourire. Et depuis sept ans, rien ne vient perturber ce quotidien qui t'enterre. Tu te laisses faire. Tu as de la force, mais tu ne l'utilises que pour protéger celles qui te rappellent son visage. Pourquoi ne pourrais-je pas avoir ce que je veux ? Parce que j'ignore ce que je veux. Ce sera la fin d'une histoire. Un triangle mortel. Inès, cette histoire finira mal. C'est faux. Il n'y aura que moi pour essayer de gâcher du vide. I'm fuckep up. Je ne veux pas vivre comme mon père. Je ne veux pas vivre en ayant peur de décevoir. Je ne veux pas vivre en ayant peur de perdre. Je ne veux pas vivre en ayant peur de vivre. Je ne veux pas vivre en ayant peur de mes envies. Il y a deux jours, cela faisait neuf ans qu'il est mort dans la nuit. Un cancer, un de plus. Quel couillon. Je ne le connaîtrai jamais, et je ne pourrai jamais lui dire. Je remercie qui ?

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"Que rêvais-tu pauvre Gauguin ?"
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Lundi 18 avril 2011 à 21:36

Tout le monde sait. Tout le monde te fixe. Tout le monde te regarde. Personne ne relève. Personne ne se méfie. Tu ne t'enfuis pas, mais tu voles autant que tu peux. Au final, c'est toi-même que tu dépouilles sans la mondre attention. Tu veux connaître la vérité; je suis la seule criminelle. Ce n'est que moi. Je suis celle qui a tué l'espoir dans le ventre de sa mère. Aujourd'hui, je trouve refuge au milieu de la forêt noire. Et j'espère encore trouver des loups pour hurler en troupe. Dans cet endroit, il n'y a plus rien. Que ce que j'ai gravé sur les murs. Murs qui se sont effondrés à un moment, où je m'étais retournée pour apercevoir une ombre glisser. Pauvre fou, tu cherches encore à retrouver la mère. Tu ne veux pas voir qu'elle n'a jamais été là. Tu me détruis. Je t'améliore. Je ne dirai pas merci. Tu l'as déjà dit. Faux retour des choses. Je n'ai perdu qu'une crédibilité que je n'ai jamais possédée. Autant dire que je n'ai rien perdu. Pour changer, j'aimerais gagner quelque chose que je n'aurai pas envie de perdre. Ou bien détruire un être humain. Et que son dernier visage hante mes nuits déjà troublées. 

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I wanna love you. But something's pulling me away from you. / 
 

Lundi 18 avril 2011 à 0:50

 J'ai dû faire pour elle ce que tu aurais pu faire pour moi. Tu pourras demander ce que j'ai fait. Elle te regardera avec un regard fuyant et un sourire en coin. Je ne te regarderai pas, je te suggèrerai deux mots. Tu ne les trouveras pas. Alors je te les dirai. Tu comprendras très bien. Mais une fois de plus, tes mains mentiront alors que mes yeux essayeront de fuir. Car tout autour le monde se sera enflammé, littéralement. Et le seul bruit qui m'entourera, ce sera celui de la nature qui hurle et des corps qui se déchirent. Les images d'horreur que certains regards m'inspirent sont proportionnelles à la dimension émotionnelle dont ils font preuve et avec laquelle ils me transportent. Construction pas très claire et pouvant porter à confusion. Je vais donc élucider ce mystère, chose que j'ai horreur de faire; j'en connais qui vous diront que je suis le genre de personne à cultiver le mystère au dépit de sensations plus réelles. Je reformule alors; si lorsque tu me regardes comme cela, l'horreur et la douleur se manifestent dans mon crâne, c'est parce que j'ai n'ai jamais réussi à accepter que tu puisses pénétrer ce mystère sans vouloir en saisir toute sa consistance. Et je n'ai toujours pas réussi à réellement véhiculer l'idée que j'avais en tête. Il y aura donc deux mots. Tu feras semblant de ne pas comprendre, tu ne peux pas mentir. Un verbe et un adverbe, enfin je crois. Et j'aurai envie de dire que j'aurai réussi à retenir ce que tu observais lentement t'échapper. Mais je ne le dirai pas, parce que je n'ai rien fait. Et quand bien même, j'aurai fait quelque chose, je l'aurai fait pour moi. Parce que je ne peux plus t'affronter si elle n'est pas là pour me retenir. La nicotine, mais surtout le manque de nicotine ravageront mon corps, tout comme le reste. Quel genre de connasse a envie de danser Niagara en mini short autour d'une piscine un gin tonic à la main pour semer le doute dans les esprits ? Le même genre de connasse qui s'invente des soucis quand les autres en ont déjà trop. S'il repasse par là un de ces jours, je lui montrerai mes bras. Il n'y a que cela à admirer. Et je le serrerai très fort comme cela sans raison. Nous n'avons jamais eu besoin de raison. Nous étions là et nous le sommes toujours. Je n'aime pas les enfants, sauf les miens. J'ai sans doute dû le dire au moins des centaines de fois. Je me recycle. Et je m'annihile. Etre là. 


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Je peux tous les détruire. Mais ils ne s'embrasseront pas. . /

 

Jeudi 7 avril 2011 à 22:45

Ecris une histoire. Mais pour raconter quoi ? Peut-être une lumière bien placée. Ou bien ta petite vie de petite fille de droite. Petite fille capricieuse incapable d'aimer les bonnes personnes. Grand classique, déjà fait. Et si tu écrivais ton Grand classique. Histoire qu'on se marre un peu de ce côté ci de la mer. Tu ne sais pas quoi faire ? Et bien c'est tant mieux, ne fais rien et réfléchis après. Je ne vois pas ce que tu peux faire d'autre dans ces moments. Laisse ton corps digérer, lui sait le faire sans ton aide. Tellement de choses se font sans ton aide. Je ne vois toujours pas pourquoi cela changerait. Ne crois pas. Arrête de croire qu'une place t'attend quelque part, à l'ombre d'immenses châtaigners. Arrête de croire que quelqu'un viendra te sauver de ta névrose psychotique imaginaire et imaginée. Sérieusement, tu t'endors et tu te réveilles , mais trop rarement sereinement. Tu es comme hantée par une ombre dont tu n'as pas encore vu la forme initiale. Incapable de prendre une décision, tu n'es pas encore tombée sur plus fort de toi. Et cela t'ennuie comme tu peux en rire à peu près négligemment. La liberté n'est qu'un concept qui te fait croire que tout ceci ou cela aurait un quelconque sens ou un but quelconque. Après tout, tu n'as pas vraiment quelque chose à perdre. Tu aurais plutôt tout à gagner, quoi que tu fasses. I MEAN, de quoi as-tu encore peur ? De te planter, de te tromper. T'as rempli ton quota pour quelques temps. Et tu ne sais faire que cela. Et si tu exploitais ce don de toujours tout foutre en l'air juste grâce à un regard mal interprété. I MEAN, de qui as-tu encore peur?

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TEAR DOWN THE WALL !

 

Dimanche 3 avril 2011 à 22:48

J'ai un deuxième problème. Et le premier déjà énoncé est faux. Ce dernier était: Je n'ai qu'un problème, celui de ne pas en avoir. Depuis, je m'en suis créé un deuxième. Un jour, je pense quelque chose. Un autre jour, je me maudis d'avoir pu le penser. Un jour, je déteste une personne. Un autre, je ne veux pas ne pas la revoir. Un jour, je me détruis. L'autre, je m'enfonce dans un gouffre fictif d'ennui. Je ne cherche pas l'erreur, je la suis, je la crée et je l'éparpille. Au bout du compte, plus personne n'arrive à me suivre. C'est sans doute ce que je veux par dessus tout. Vu que j'y consacre toute mon énergie et mon temps. Au bout du chemin, je ne me comprends plus moi-même. Je ne me suis pas perdue, je ne me suis jamais trouvée au départ. C'est bien ce que je disais et je suis sur le point de me contre-dire encore une fois, en moins de deux minutes. Je n'ai qu'un seul et unique problème, celui de ne pas en avoir à résoudre. Alors, je fais croire ici et là, qu'un jour j'y survis et que l'autre je ne peux respirer sans. Je ne veux pas fuir. Je ne veux pas me battre. En même temps, il n'y a pas d'adversaire. Je me dis Réveille-toi et rien ne s'éclaire. Enfin, tout est déjà allumé. Et rien ne s'éteind. Je vais finir par croire que je suis une pathologie à moi toute seule. Arrogance mal dissimulée, je suis moi simplement. Rien d'extraordinaire. Grande et pas toujours droite dans mes bottes, j'essaie de courir sans oxygène, pas toujours évident. Une contradiction physique, une métaphore ambulante et une fausse suicidaire, je passe mon temps à tester mon entourage.  Je n'analyse jamais les résultats. Après, ce que je préfère c'est envoyer des balles au milieu de nulle part et cultiver ce mystère qui ne cache rien, à part une incertitude et une arrogance peu dissimulée. THEN, WHAT AM I ?

http://ridiculousthoughts.cowblog.fr/images/photos/ReversCroise.jpgCe qui est chouette avec le gin tonic, c'est qu'on ne voit pas qu'il y a du tonic dedans./

Mardi 29 mars 2011 à 23:33

Métropolitaine, Elle ne doit rien à personne.
Un sourire l'a voulue.
Quand je l'ai vue nue,
j'ai senti une larme.
Je donnerai ma vie
pour qu'à jamais
Elle oublie.
Et lui enlever le mal,
enlever ce mal,
planté comme une lame.
Quand ils brillent,
ses yeux grands ouverts
font un rêve,
et je voyage en enfer.
Au fond des yeux
j'ai vu des hommes,
une ville, des flammes,
un enfant, une femme,
et leurs cris est un écho,
ça cogne dans la tête.
Un écho ça cogne dans la tête.
Noï, Noï,
réveille-toi,
Noï,
N'écoute pas ces voix.
Réveille-toi Noï,
Réveille-toi;
Tu es ici,
avec Moi.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête
...



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Cet éternel regret d'être passé à côté de ma vie n'est même plus une trace dans mes pensées solitaires. /


Mercredi 23 mars 2011 à 21:43



" C'est l'avis de tous que Ganelon meure d'un terrible
supplice. On amène quatre destriers, on lie aux chevaux
les pieds et les mains du traître; les chevaux sont ardents
et rapides, quatre sergents les dirigent. Ganelon va
mourir d'une fin terrible: tous ses nerfs sont affreuse-
ment tirés, et tous ses membres sont déchirés de son
corps; sur l'herbe verte coule le sang clair, Ganelon est
mort comme un félon et un lâche. Il est juste que le 
traître ne puisse jamais se vanter de sa trahison. "



La chanson de Roland



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Mardi 22 mars 2011 à 0:59

 


J'ai un amour magnifique, mais caché.
Que je suis seule à ne pas vouloir voir.*





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What can I possibly say ?





Dimanche 20 mars 2011 à 1:37

Ceci n'est pas mon jeu, je n'en fais pas partie. Je l'ai créé. Contradiction par nature. J'ai fini de m'excuser. Et puis, on me reproche de vivre. On me dit que je ne prends pas la bonne direction. Mais la direction pour où? On me conseille des chemins. Histoire de trouver la bonne issue. Mais je ne veux pas partir, je ne veux aller nulle part. Je suis bien ici. Malgré tout ce que l'on dit, tout ce que l'on pense. Rien n'importe que ma vie. Et puis celles qui font que j'ai envie de la poursuivre. J'ai un amour magnifique, mais caché. Personne ne veut le laisser vivre plus de quelques heures. J'écoute des chansons qui créent mes autres mondes. Ceux dans lesquels tout est possible et rien n'est hors de portée. J'en ai assez des malentendus et des non-dits. Je n'accepte pas la négation. Il n'y a rien à ajouter. Vous voulez rire. J'ai horreur d'avoir le mot de la fin. J'ai horreur qu'on m'impose ces limites qui sont si facilement franchissables et qui ne représentent rien. Rien à part du vent qui joue avec nos directions. J'aimerais me dire que tout cela n'est pas réel. Je me le dis. Mais j'aimerais savoir que c'est vrai. Je parle au conditionel car à présent j'ai compris que rien ne dure. Que rien n'est acquis. Et qu'il est toujours difficile d'émerger de ces rêves, surtout des miens, et des siens. Je passe désormais mon temps à m'inspirer. Et je ne comprends pourquoi je veux plus que ce que je ne peux avoir, pourquoi je me lasse si vite. Oui, je pleure. Non, je ne m'en veux pas. J'ai souvent envie de me résigner. Je ne le fais pas. Et je pense à ceux qui ne le feront pas. Vous ne changerez pas une équipe qui perd. Surtout la mienne. Je l'aime beaucoup, mine de rien. Le chat n'a jamais pu dormir avec moi. C'est peut-être cela qui fait qu'aujourd'hui je ressens le vide après chaque pas posé dans le monde extérieur. Mes jambes ont parcouru des kilomètres et des kilomètres. Ma tête a pensé des millions de phrases. Mais combien de fois allez-vous laisser mon être amoureux se déchirer de part en part ? Vous avez eu la gentillesse de le recoudre. Mais je ressens toujours quelque chose de différent à l'endroit où vous avez troué ma peau. Ce n'est pas une plaie béante. Il n'y a pas des litres de sang à mes pieds. Mais cette sensation n'est supportable que lorsque je sens sa proximité. Sérieusement, combien de temps allez-vous me laisser hésiter ? Hésiter entre les arbres et les fleuves. J'ai froid et mal aux jambes. Cela passera. Dans peu de temps, j'aurai trop chaud et mon corps répondra du tac au tac. En attendant, je ne regrette pas, je n'ai pas peur d'oublier, j'en veux à ceux et celles qui m'ont permis de croire qu'il y avait une issue belle et positive. Je ne me sens pas mal. Je ne me sens pas seule. Je ne me sens pas du tout. Ce n'est pas froid que j'ai, ce n'est pas le vide que je redoute; je ne trouve pas les mots pour l'exprimer et je ne crois pas qu'il y en ait vraiment. Et j'en ris Et j'en bois. Et ainsi de suite. Je connais quelqu'un à qui je pourrais parler sans prononcer le moindre mot, juste avec des regards et puis d'autres choses. Je veux qu'il comprenne. Je veux qu'il me parle à son tour. Je ne parle plus au conditionnel car j'ai compris que si rien n'est acquis, c'est parce qu'on n'a pas envie de l'acquérir. Moi, j'ai juste apprivoisé cette envie. Et dans le fond, ce n'est pas si difficile, de regarder quelqu'un dans le fond des yeux et dire le fond de sa pensée. Alors je l'ai fait, et j'ai vu une réponse différente de celle que j'ai pu entendre. Je cherche encore l'erreur. Mais il n'y a rien à faire, ses regards me font toujours chavirer et son sourire ne peut que réveiller le mien. A quoi bon lutter. Je m'endors sous trois couvertures et ma tête repose entre quatres oreillers. Il n'y a pas d'erreur. Ils nous ont fait croire qu'il y en avait une. Il n'y a d'erreur que quand ton intégrité physique est menacée. En l'occurence, j'ai connu plus menaçant comme circonstance. Je m'égare et je me retrouve au même endroit. Un espace restreint mais si chaleureux. Si seulement tu pouvais comprendre ce qu'il se passe lorsque tu disparais. Complexe et audacieuse. Des ombres et des mystères. Des épouses et leurs fragilités béantes, autre débat et autre contrée.

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Aurais-je un jour assez de cran pour retourner au combat ? Bruno Caliciuri. /

Jeudi 17 mars 2011 à 23:54

Je suis malade tu sais. Vraiment malade. Je ne passerai pas la nuit. Non, n'essaie pas de me rassurer avec ce faux sourire. Regarde mes mains, elles se fissurent, littéralement. Ne t'enfuis pas. Pas cette fois. Cette fois, regarde-moi bien m'en aller. Car je ne reviendrai pas. Depuis ce jour, mon épaule gauche ne cesse de me faire souffrir. Mais je n'ai rien dit. Je ne me l'expliquais pas moi-même. Comme une flèche tirée au milieu du brouillard, ce souvenir n'en finit pas de pâlir et de périr, successivement. Il ne disparaît pas. Il demeure enfermé dans un château de légende caché. Rends-toi bien compte qu'en ce moment, je ne me bats pas contre moi-même mais je subis ces erreurs dont on se lasse d'apprendre. J'ai beau être malade comme un chien ukrainien et lire ces poésies réconfortantes. Rien n'y fait. Métaphoriquement, cette plaie reste béante et est plongée dans une eau très chaude et salée. Mon épaule gauche ne sent plus rien et il en restera ainsi. De temps en temps, le monstre s'y couche pour la réchauffer. Rien n'y fait. Il n'y a personne en vue. Réjouis-toi, cette vie finira par sortir. Un amour contre des sourires. C'est tout ce que j'avais à perdre. Alors je ne l'ai pas perdu. Quand bien même. Ils se cachent tous derrière des murs de poussière. Je ne comprends pas pourquoi leurs peurs ne m'atteignent pas; pourquoi je ne les ressens pas de la même manière. Mais de toute façon, cela n'a plus aucune importance. Maintenant, ce qu'il me reste. C'est la profondeur aérée de tes yeux dans laquelle je n'essaie plus d'éviter de me noyer. Et ta main, que je ne lâcherai plus. Quitte à te briser quelques phalanges. Mes rêves se sont évanouis un soir où ils ont croisé les tiens. Et alors je me suis dit, que cette vie devait être éveillée et que je ne pouvais pas me souvenir de mes rêves, qu'il fallait que je sépare ces deux mondes avant de m'ennuyer totalement dans le premier. Bien sûr, tu as et auras peur, mais ne laisse plus cette peur vivre à ta place. Quitte à perdre quelque litres de sang et quelques morceaux de chair. Tu ne seras plus seul car je batterai à demeure perdue dans ton ciel. Dans les enfers, ceux qui n'existent que dans tes illusions. J'irai te chercher. Et tu me sauveras enfin. Nous nous enfuirons. Enfin libres. Chacun de retenir l'autre prisonnier de soi. J'aimerai à te retrouver sous la pluie. Tu aimeras à me regarder à travers le soleil. Le jour sera silence et la nuit sera repos. Je ne te laisserai pas croire que je puisse aller voir ailleurs si tu n'y es pas. Tu ne me laisseras pas bouger le lit de place pour t'effacer. Et ta peau restera un mystère que je ne me lasserai pas de retracer pour essayer de le percer. Et mon corps sera une lionne pour chasser tes heures ombres. Je ne laisserai personne te mettre à genou. Je ne laisserai rien entraver tes mouvements. Je dégagerai ta route et tu seras libre, mon Amour. Alors danse et oublie déjà demain. 

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" the creature of sentiment, passion, anger and love cannot be easily suppresed "

Mardi 8 mars 2011 à 0:37

Je n'ai qu'un principe: celui de ne pas en avoir. Je n'ai aucune opinion. Je ne suis pas. Je ne viens de nulle part. Et je ne vais pas plus loin. Je cours peut-être. Je m'arrête parfois. Je ne redémarre pas toujours du premier coup. On m'a dit qu'il fallait que cela roule. Comme si j'avais eu le choix, j'ai fait ce qu'on m'a dit de faire. Pour toujours revenir au point de départ. Oui, toujours. Je n'ai jamais dépassé les limites. Non, jamais. Elles n'existent pas. Difficile d'apprivoiser quelque chose qui n'est pas. Un corps, un seul. Le détruire pour mieux le reconstruire. Je ne parle de rien de précis. Je ne fais qu'écrire. Si quelqu'un le lit, c'est bien. Si quelqu'un l'interprète, ce n'est pas mieux. Le mieux est l'ennemi du bien. Ridicule idée, car elle invoque une idée de limite. Retour au point de départ, de nouveau. On ne me croira pas lorsque je dirai que je n'ai rien à perdre et personne à qui manquer. Je le dirai tout de même puisqu'on fera bien de ne pas le croire. Le bonheur n'est pas un but à atteindre mais une façon de vivre. J'ai dû lire cela aujourd'hui ou hier, j'aime bien. Donc je me l'approprie. Comme cela, sans aucune réponse puisqu'aucune question à poser. Je ne cherche plus à essayer de comprendre pourquoi certaines personnes s'empêchent de vivre. J'ai fini d'être aimable, je l'ai sans doute déjà dit, même j'aime bien insister sur ce fait. J'ai compris des choses méprisables et déroutantes. Cela ne va pas m'empêcher de me réveiller. J'ai dépassé ce stade où j'essaie de dormir. Je me laisse endormir. Cela n'est pas si dur. Il suffit de rien du tout. Il ne faut pas essayer de comprendre, ni essayer de le résoudre. Enfin, c'est ce que j'en pense. Tu restes craquant quand tu es indéfiniment sur le point de craquer.  Ne dis plus non. Ne dis plus oui. Ne parle même plus. Tu dis tellement plus quand tu ne le fais pas. Et cela reste un mystère. C'est ce que je préfère indéniablement. Le mystère et son côté brillant et obscure à la fois. Je n'aime pas les enfants, sauf les miens. Je n'aime pas les mariages, sauf le mien. Si je bois trop, c'est qu'on m'offre trop à boire. Je ne suis pas coupable. Je ne suis pas innocente. Je ne suis pas. Et je n'ai pas envie d'être. Lors d'une fête d'anniversaire, il y a ceux qui dansent et ceux qui ne dansent pas. Et ceux qui ne dansent pas, ne dansent pas parce qu'ils n'en ont pas envie. Si on part de là, il n'y a pas grand chose à rajouter. Mais ce serait tomber dans la facilité, et j'ai horreur de cela. Si si. Je boirai à la santé de qui le voudra. Du moment qu'on me laisse boire. Il faut toujours une raison pour tout. Il faut toujours tout justifier. Il faut toujours parler pour soi-disant combler le silence (que je n'ai toujours pas croisé, et je le vis plutôt bien). Il faut toujours une excuse pour se laisser aller. Je ne comprends rien. Et cela ne va pas en s'améliorant. Et cela a fini de m'inquiéter. Il y a des messages que j'aime recevoir. Et il y a les autres que j'oublie d'avoir reçu. Et il y a ceux que je ne reçois pas car je ne devais pas les recevoir. On se dit au revoir. Mais on ne se quitte pas vraiment. Je peux lire toutes sortes d'émotions dans toutes sortes de regards. Mais ils ne m'intéressent pas tous. Alors parfois je fais le tri, parfois pas. Je suis témoin, il se laisse faire. Je suis témoin, elle ne se laisse pas faire. Je n'ai jamais vraiment saisi le sens de cette expression. Je l'utilise tout de même. J'ai connu tes principes plus entreprenants. Alors souris et ferme les yeux. Je m'occupe du reste, je suis forte à ce jeu-là; tu me connais.

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all your friends have gone away
so let's celebrate


Dimanche 6 mars 2011 à 11:44

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i don't even know your name
i already reach you
i already forget you

Dimanche 6 mars 2011 à 11:05

Il y a une lumière de soleil qui est entrée dans ma chambre. Je n'ai appelé personne. Les arbres ont grandi et sûrement moi aussi. Il y a trou dans ma main. Contrairement à ce que l'on vous dira, je me souviens exactement du pourquoi du comment et du quand il est arrivé. Orgueil dépassé. you keep leaving. always before the sunlight enters this room. jethro does leave no more. Allez savoir pourquoi ce chat a ouvert cette porte et comment il l'a fait. Ces bêtes restent intrigantes à leurs heures chaleureuses. cha-leureuses. Des guitares basses et des pensées hautes. I'm trough being cute. I'm trough being nice. J'ai fini d'être honnête. J'ai fini d'être aimable. Pendant que nous buvons de l'eau, d'autres cherchent encore leurs réponses à des questions qu'ils n'osent pas poser. A quoi bon vouloir être un héros quand il n'y a rien à sauver. Tu changes parfois de disque et tu connais cet endroit par coeur. Les moindres recoins, les moindres regards en coin. Tu dis quelque chose et tu fais le contraire. Pas besoin de parler avec tes lèvres. Damn you, damn your mistrustful love. Le non-sens gagne du terrain et c'est ce que je préfère. N'avoir ni début ni fin. Juste rester entre deux zones; ne pas choisir et avancer dans la lumière. Affronter le soleil, se laisser brûler par sa puissance. Affronter ton silence et ne pas le laisser s'installer comme cela. J'ai horreur d'avoir le mot de la fin, faim. Temps de partir pour revenir. Je suis une guerrière dans l'âme. Tu n'es rien. Et je déteste au plus haut point celui qui a implanté cette idée dans ma tête. Je ne le remercierai pas. I'm trough being cute.

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i get so haunted
i fall in your dreams tonight



 

Vendredi 4 mars 2011 à 22:44


Le ciel est toujours aussi gris. Plusieurs rêves pour plusieurs nuits. Des rêves plus qu'agréables, grâce auxquels je me réveillais le sourire aux lèvres, chose qui ne m'était pas arrivé avant. And then, I look at some pictures. And there's no one in sight; no one but you. How could it be possible ? How could I miss out on you just like that ? Now I'm older and my heart colder, there are only few words to be said. I miss you. I need you. I don't even know if it's a lack of love or something. What can I say? I am the one who have been hurting the most, always. All I can do for now is sleeping. I juste have to turn off the light and lay down in silence. And I also wish there were your chest between me and this bed. I would love to hear your lower voice telling me: "Dream about me". I would love to lose my lips and my mind somewhere in your neck. Sometime I catch myself awake and dreaming about just leaning and kissing you, or something. That kills me. I can't see you. You must have some loves somewhere else to complete. I might be keeping writing to you like this untill I had your pretty face and its truth in front of me. Now, let me sleep. Don't let me go. Keep walking around here. I might be able to get never tired of your smile. Le ciel est noir.

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this is what we won't
delay for your birthday

Vendredi 4 mars 2011 à 22:20

Des lumières et leurs ombres. Des juments et leurs poulains. Des plaines et leurs étendues à perte de vue. Des hommes et leurs amours déçues. Des illusionnistes et leurs rêves fragmentés. Des trains et leurs retards incompris. Des histoires et leurs fins perdues. Des images et leurs souvenirs mortels. Des routes et leurs accidents traumatisant. Des plaies et leurs cicatrices charnelles. Des amies et leurs réconforts conditionnels. Des amants et leurs absences familiales. Des armoires et leurs trésors oubliés. Des lettres et leurs tristesses exagérées. Des chansons et leurs émotions interprétées. Des arbres et leurs abris. Des mains et leurs sensations. Des verres et leurs poisons que nous avalons jusqu'à déraison. Des professeurs et leurs clichés de premières années. Des instants et leurs solidités. Des chats et leurs sommeils au soleil. Des quais et leurs solitudes passagères. Des douleurs et leurs délires solitaires. Des matchs et leurs issues arrosées. Des siestes et leurs réveils controversés. Des fenêtres et leurs vues quotidiennes. Des femmes et leurs amours heureux. Des maris et leurs contraintes maladives. Des événements et leurs incidences éphémères. Des épouses et leurs fragilités béantes. C'est tout ce que j'avais à laisser. Alors je l'ai laissé.

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" On ne m'a donné ni armes ni larmes à mes yeux
  Que ce cheval d'acier noir et ce corps sans visage
  J'ai l'âme de l'enfant et la mémoire du vieux
  L'éternité c'est long quand on marche sans coeur "

Mardi 1er mars 2011 à 22:31

            

Je n'ai rien à attendre. Je n'ai personne à retrouver. Jusque là, ma vie, comme celle de la plupart des gens autour, était rythmée par une suite d'événement inattendus ou non et une suite de retrouvailles glorieuses ou non. Les amoureuses attendent de partir en voyage avec leur amour. Les pères de familles attendent le week-end pour revoir leur famille. Les coachs sportifs attendent le prochain match avec impatience pour pouvoir admirer leur travail ou déplorer leur impuissance. Les étudiants attendent la prochaine fête pour pouvoir prouver au monde entier qu'ils sont capables d'ingurgiter des litres et des litres d'alcool sans en mourir. Les névrosées attendent leur prochaine consultation pour enfin parler à quelqu'un et surtout parce qu'elles croient qu'un spécialiste va améliorer leur vie en un claquement de doigts. Les écrivains attendent leur prochaine idée géniale. Les professeurs attendent, le prochain congé pour rattraper leur retard dans leurs centaines de copies et de copies mal remplies. Les maris attendent la fin du jour pour pouvoir rentrer et serrer dans leurs bras une épouse qu'ils ne laisseront jamais partir, parce que sans elles, ce serait simplement et purement la fin de leur monde. Enfin, vous voyez que chacun rythme sa vie selon ses envies, ses obligations, ses peines, ses réjouissances, ses rencontres, ses abandons et tout le reste. Ensuite, vous me voyez moi. Rien d'exceptionnelle en soi. Non, vraiment rien. Je suis simplement déchirée de part en part. D'un bout à l'autre, si vous y regardiez bien, vous pourriez voir des cicatrices ici et des plaies béantes là.

Et cela grâce et à cause d'une personne. La personne que je déteste le plus au monde. La personne que j'aime le plus au monde. Moi. J'ai toujours été et je serai toujours la seule à me laisser mutiler de la sorte. A aucun moment, je n'ai opposé de résistance. Je m'allonge sur la parquet. Je ferme les yeux, mon dos me fait un mal de chien et je ne trouve jamais le silence. Je l'ai cherché partout. Mais il ne veut pas de moi. Ou je ne suis pas prête à le regarder en face. Parce que le silence c'est quand même une sacrée personnalité. Tout le monde en parle et tout le monde l'appelle. Je ne l'ai jamais aperçu. Alors je pars à la recherche de quelqu'un d'autre, sans que je sache ni qui ni où ni comment chercher. On m'a dit de marcher, alors j'ai marché. On m'a dit de parler, alors j'ai parlé. Par contre, on n'a pas voulu que je crie ni que je pleure. Pourtant c'est ce que je préfère. Tout cela pour un foutu personnage que personne n'a jamais vu en peinture. Et puis on m'a poussée dehors. Et comme je fais partie de la race humaine, je n'ai eu d'autres choix que de m'adapter. En fait, cela s'est fait instinctivement. Je suis actuellement incapble de vous décrire comment je l'ai fait.

Je remarque, au jour d'aujourd'hui, que tout ce que j'ai voulu le plus fort possible, au point de me faire souffrir moralement et physiquement, ne m'a pas été accordé. Et au nom de quoi ? Au nom de quelconques excuses fabriquées dans une belle usine dirigée par une bonne copine qu'on appelle la société. Je dis copine parce que je suis censée l'apprécier. Et à chaque fois que je m'approchais de la chose tant convoitée, cette chose s'approchait à son tour, n'hésitant pas à me toucher, à s'incruster dans ma peau mais sans s'installer. Et alors, dès que je m'apprêtais à m'approprier à mon tour de sa substance. Elle prenait littéralement ses jambes à son cou. Mais en prenant bien garde d'arracher la partie de mon corps dans laquelle elle commençait à s'assoupir au chaud. Merci les gars, on se revoit la semaine prochaine pour un autre débat. Non, pas cette fois. Cette fois, je parle, je dis ce que j'ai à dire et je me fous complètement de la suite. Chaque chose aura pris son temps et son aisance pour accaparer ce dont elle avait besoin de mon être. Et chaque chose aura pris la peine de faire bien mal là où cela fait vraiment mal pour tirer sa révérence. Enfin, tirer sa révérence est une bien trop grande phrase. Elles se sont juste eclipsées le temps d'aller boire un verre ou deux. Mais elles ne sont jamais très loin, et n'hésitent jamais à venir essayer de se replonger dans les gouffres qu'elles ont elles-même laissés. 



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this is how They feel
when You leave



 

Dimanche 27 février 2011 à 16:38




You'd gone too far.
Yet, I am still waiting.
I will get you.


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Samedi 19 février 2011 à 23:00

Tu sais que c'est fini. Moi je sais que rien n'a commencé.
Et je cours toujours tout seul, un peu comme William.
Oh mais je ne suis pas seul.
J'ai quelqu'un à qui je peux sonner
simplement pour dire: "Allô, Eva?".
Maintenant que j'ai frôlé
les rives de la Meuse.
Je ressens comme une envie
de faire pareil avec celles de la Tamise
ou de quelque chose comme cela.
Avant de mourir j'aimerais avoir visité Berlin et
chanté avec des gens tout aussi saouls que moi
cette phrase de Balavoine.
Les anciennes de l'école diront que j'suis pd,
que me yeux puent l'alcool,
que je ferais mieux d'arrêter.
On m'a dit que je devais choisir une vie,
comme si je devais choisir un article dans une liste.
Personne ne m'a encore montré de mode d'emploi.
Alors je ne choisis pas, je vis et c'est tout. 
A la question "Qu'est-ce que tu vas faire de ta vie?"
ou "Qu'est-ce que tu deviens?"
J'hésite souvent entre "pas grand chose" et "rien"
comme réponses
Bien que la première soit plus exacte
Je ne résiste pas au plaisir de voir la tête 
de mon interlocuteur lorsque je lâche la deuxième!
Il est très rare que je ne fasse rien du tout
Mais pour l'opinion extérieure
Si je gagne pas des sous
Ou si je ne suis pas étudiante
Cela veut dire que je ne fais rien de ma vie.
Et bien, Grossière erreur.
Je fais ce que j'ai envie de faire.
Quoi de mieux ? 

Don't speak to me this way
Don't ever let me say
Don't leave me again
Don't leave me again
Don't hurt me this way
Don't touch me this way
Don't hurt me again
Don't hurt me again
Don't hurt me this way
Don't touch me this way
Don't hurt me again
Don't hurt me again
Don't let me make the same mistake again
Please, don't let me make the same mistake again
Please, don't let me make the same mistake again
Don't let me make the same mistake again
Oh you never felt this lost before
And the world is closing doors
I never wanted anything more


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Experience is the name we give our mistakes.
Oscar Wilde

Lundi 14 février 2011 à 23:03



 And then ,
What can I tell you
My Brother 
My Killer ?

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Leonard Cohen,
Auschwitz-Birkenau,
Comme si le monde avait oublié.



Lundi 14 février 2011 à 21:48

Comment vendre du rêve ?

          
 Pour commencer, je n'ai tué personne et je n'ai subi aucun traumatisme grave que ce soit physique ou psychologique. Pour finir, le plus longtemps j'éviterai de tuer quelqu'un ou de subir un grave traumatisme, le plus longtemps je pourrai créer du rêve pour consommation personnelle. Etant donné que cette dernière action est mon passe-temps favori, ne plus être en mesure de l'actionner serait un drame insitutionnel. Pour se faire, il n'y a rien de compliqué. Prenez quelqu'un, en général cela va plus vite avec un sujet féminin, mettez cette dernière au milieu d'un groupe dont les membres sont de diverses origines. Observez-la, poussez-la un peu en lui lançant des défis (intéressants ou pas) et décrivez. Vous obtiendrez la meilleure histoire. Evidemment, il faudra prendre la peine de modifier quelques détails afin que les sujets d'origine se reconnaissent mais qu'il n'y ait pas de points communs pouvant porter préjudice à votre intégrité juridique. 

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Don't leave me again. 

 

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