"Que rêvais-tu pauvre Gauguin ?" /
ridiculousthoughts
rUn awAy .
Vendredi 22 avril 2011 à 21:54
"Que rêvais-tu pauvre Gauguin ?" /
Lundi 18 avril 2011 à 21:36
Lundi 18 avril 2011 à 0:50
Je peux tous les détruire. Mais ils ne s'embrasseront pas. . /
Jeudi 7 avril 2011 à 22:45
Dimanche 3 avril 2011 à 22:48
J'ai un deuxième problème. Et le premier déjà énoncé est faux. Ce dernier était: Je n'ai qu'un problème, celui de ne pas en avoir. Depuis, je m'en suis créé un deuxième. Un jour, je pense quelque chose. Un autre jour, je me maudis d'avoir pu le penser. Un jour, je déteste une personne. Un autre, je ne veux pas ne pas la revoir. Un jour, je me détruis. L'autre, je m'enfonce dans un gouffre fictif d'ennui. Je ne cherche pas l'erreur, je la suis, je la crée et je l'éparpille. Au bout du compte, plus personne n'arrive à me suivre. C'est sans doute ce que je veux par dessus tout. Vu que j'y consacre toute mon énergie et mon temps. Au bout du chemin, je ne me comprends plus moi-même. Je ne me suis pas perdue, je ne me suis jamais trouvée au départ. C'est bien ce que je disais et je suis sur le point de me contre-dire encore une fois, en moins de deux minutes. Je n'ai qu'un seul et unique problème, celui de ne pas en avoir à résoudre. Alors, je fais croire ici et là, qu'un jour j'y survis et que l'autre je ne peux respirer sans. Je ne veux pas fuir. Je ne veux pas me battre. En même temps, il n'y a pas d'adversaire. Je me dis Réveille-toi et rien ne s'éclaire. Enfin, tout est déjà allumé. Et rien ne s'éteind. Je vais finir par croire que je suis une pathologie à moi toute seule. Arrogance mal dissimulée, je suis moi simplement. Rien d'extraordinaire. Grande et pas toujours droite dans mes bottes, j'essaie de courir sans oxygène, pas toujours évident. Une contradiction physique, une métaphore ambulante et une fausse suicidaire, je passe mon temps à tester mon entourage. Je n'analyse jamais les résultats. Après, ce que je préfère c'est envoyer des balles au milieu de nulle part et cultiver ce mystère qui ne cache rien, à part une incertitude et une arrogance peu dissimulée. THEN, WHAT AM I ?
Ce qui est chouette avec le gin tonic, c'est qu'on ne voit pas qu'il y a du tonic dedans./
Mardi 29 mars 2011 à 23:33
Un sourire l'a voulue.
Quand je l'ai vue nue,
j'ai senti une larme.
Je donnerai ma vie
pour qu'à jamais
Elle oublie.
Et lui enlever le mal,
enlever ce mal,
planté comme une lame.
Quand ils brillent,
ses yeux grands ouverts
font un rêve,
et je voyage en enfer.
Au fond des yeux
j'ai vu des hommes,
une ville, des flammes,
un enfant, une femme,
et leurs cris est un écho,
ça cogne dans la tête.
Un écho ça cogne dans la tête.
Noï, Noï,
réveille-toi,
Noï,
N'écoute pas ces voix.
Réveille-toi Noï,
Réveille-toi;
Tu es ici,
avec Moi.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête.
Un écho
Ca cogne dans la tête
...
Cet éternel regret d'être passé à côté de ma vie n'est même plus une trace dans mes pensées solitaires. /
Mercredi 23 mars 2011 à 21:43
" C'est l'avis de tous que Ganelon meure d'un terrible
supplice. On amène quatre destriers, on lie aux chevaux
les pieds et les mains du traître; les chevaux sont ardents
et rapides, quatre sergents les dirigent. Ganelon va
mourir d'une fin terrible: tous ses nerfs sont affreuse-
ment tirés, et tous ses membres sont déchirés de son
corps; sur l'herbe verte coule le sang clair, Ganelon est
mort comme un félon et un lâche. Il est juste que le
traître ne puisse jamais se vanter de sa trahison. "
Mardi 22 mars 2011 à 0:59
J'ai un amour magnifique, mais caché.
Que je suis seule à ne pas vouloir voir.*
What can I possibly say ?
Dimanche 20 mars 2011 à 1:37
Aurais-je un jour assez de cran pour retourner au combat ? Bruno Caliciuri. /
Jeudi 17 mars 2011 à 23:54
" the creature of sentiment, passion, anger and love cannot be easily suppresed "
Mardi 8 mars 2011 à 0:37
all your friends have gone away
so let's celebrate
Dimanche 6 mars 2011 à 11:44
i don't even know your name
i already reach you
i already forget you
Dimanche 6 mars 2011 à 11:05
i get so haunted
i fall in your dreams tonight
Vendredi 4 mars 2011 à 22:44
Le ciel est toujours aussi gris. Plusieurs rêves pour plusieurs nuits. Des rêves plus qu'agréables, grâce auxquels je me réveillais le sourire aux lèvres, chose qui ne m'était pas arrivé avant. And then, I look at some pictures. And there's no one in sight; no one but you. How could it be possible ? How could I miss out on you just like that ? Now I'm older and my heart colder, there are only few words to be said. I miss you. I need you. I don't even know if it's a lack of love or something. What can I say? I am the one who have been hurting the most, always. All I can do for now is sleeping. I juste have to turn off the light and lay down in silence. And I also wish there were your chest between me and this bed. I would love to hear your lower voice telling me: "Dream about me". I would love to lose my lips and my mind somewhere in your neck. Sometime I catch myself awake and dreaming about just leaning and kissing you, or something. That kills me. I can't see you. You must have some loves somewhere else to complete. I might be keeping writing to you like this untill I had your pretty face and its truth in front of me. Now, let me sleep. Don't let me go. Keep walking around here. I might be able to get never tired of your smile. Le ciel est noir.
delay for your birthday
Vendredi 4 mars 2011 à 22:20
" On ne m'a donné ni armes ni larmes à mes yeux
Que ce cheval d'acier noir et ce corps sans visage
J'ai l'âme de l'enfant et la mémoire du vieux
L'éternité c'est long quand on marche sans coeur "
Mardi 1er mars 2011 à 22:31
Je n'ai rien à attendre. Je n'ai personne à retrouver. Jusque là, ma vie, comme celle de la plupart des gens autour, était rythmée par une suite d'événement inattendus ou non et une suite de retrouvailles glorieuses ou non. Les amoureuses attendent de partir en voyage avec leur amour. Les pères de familles attendent le week-end pour revoir leur famille. Les coachs sportifs attendent le prochain match avec impatience pour pouvoir admirer leur travail ou déplorer leur impuissance. Les étudiants attendent la prochaine fête pour pouvoir prouver au monde entier qu'ils sont capables d'ingurgiter des litres et des litres d'alcool sans en mourir. Les névrosées attendent leur prochaine consultation pour enfin parler à quelqu'un et surtout parce qu'elles croient qu'un spécialiste va améliorer leur vie en un claquement de doigts. Les écrivains attendent leur prochaine idée géniale. Les professeurs attendent, le prochain congé pour rattraper leur retard dans leurs centaines de copies et de copies mal remplies. Les maris attendent la fin du jour pour pouvoir rentrer et serrer dans leurs bras une épouse qu'ils ne laisseront jamais partir, parce que sans elles, ce serait simplement et purement la fin de leur monde. Enfin, vous voyez que chacun rythme sa vie selon ses envies, ses obligations, ses peines, ses réjouissances, ses rencontres, ses abandons et tout le reste. Ensuite, vous me voyez moi. Rien d'exceptionnelle en soi. Non, vraiment rien. Je suis simplement déchirée de part en part. D'un bout à l'autre, si vous y regardiez bien, vous pourriez voir des cicatrices ici et des plaies béantes là.
Et cela grâce et à cause d'une personne. La personne que je déteste le plus au monde. La personne que j'aime le plus au monde. Moi. J'ai toujours été et je serai toujours la seule à me laisser mutiler de la sorte. A aucun moment, je n'ai opposé de résistance. Je m'allonge sur la parquet. Je ferme les yeux, mon dos me fait un mal de chien et je ne trouve jamais le silence. Je l'ai cherché partout. Mais il ne veut pas de moi. Ou je ne suis pas prête à le regarder en face. Parce que le silence c'est quand même une sacrée personnalité. Tout le monde en parle et tout le monde l'appelle. Je ne l'ai jamais aperçu. Alors je pars à la recherche de quelqu'un d'autre, sans que je sache ni qui ni où ni comment chercher. On m'a dit de marcher, alors j'ai marché. On m'a dit de parler, alors j'ai parlé. Par contre, on n'a pas voulu que je crie ni que je pleure. Pourtant c'est ce que je préfère. Tout cela pour un foutu personnage que personne n'a jamais vu en peinture. Et puis on m'a poussée dehors. Et comme je fais partie de la race humaine, je n'ai eu d'autres choix que de m'adapter. En fait, cela s'est fait instinctivement. Je suis actuellement incapble de vous décrire comment je l'ai fait.
Je remarque, au jour d'aujourd'hui, que tout ce que j'ai voulu le plus fort possible, au point de me faire souffrir moralement et physiquement, ne m'a pas été accordé. Et au nom de quoi ? Au nom de quelconques excuses fabriquées dans une belle usine dirigée par une bonne copine qu'on appelle la société. Je dis copine parce que je suis censée l'apprécier. Et à chaque fois que je m'approchais de la chose tant convoitée, cette chose s'approchait à son tour, n'hésitant pas à me toucher, à s'incruster dans ma peau mais sans s'installer. Et alors, dès que je m'apprêtais à m'approprier à mon tour de sa substance. Elle prenait littéralement ses jambes à son cou. Mais en prenant bien garde d'arracher la partie de mon corps dans laquelle elle commençait à s'assoupir au chaud. Merci les gars, on se revoit la semaine prochaine pour un autre débat. Non, pas cette fois. Cette fois, je parle, je dis ce que j'ai à dire et je me fous complètement de la suite. Chaque chose aura pris son temps et son aisance pour accaparer ce dont elle avait besoin de mon être. Et chaque chose aura pris la peine de faire bien mal là où cela fait vraiment mal pour tirer sa révérence. Enfin, tirer sa révérence est une bien trop grande phrase. Elles se sont juste eclipsées le temps d'aller boire un verre ou deux. Mais elles ne sont jamais très loin, et n'hésitent jamais à venir essayer de se replonger dans les gouffres qu'elles ont elles-même laissés.
this is how They feel
when You leave
Dimanche 27 février 2011 à 16:38
You'd gone too far.
Yet, I am still waiting.
I will get you.
Samedi 19 février 2011 à 23:00
Et je cours toujours tout seul, un peu comme William.
Oh mais je ne suis pas seul.
J'ai quelqu'un à qui je peux sonner
simplement pour dire: "Allô, Eva?".
Maintenant que j'ai frôlé
les rives de la Meuse.
Je ressens comme une envie
de faire pareil avec celles de la Tamise
ou de quelque chose comme cela.
Avant de mourir j'aimerais avoir visité Berlin et
chanté avec des gens tout aussi saouls que moi
cette phrase de Balavoine.
Les anciennes de l'école diront que j'suis pd,
que me yeux puent l'alcool,
que je ferais mieux d'arrêter.
On m'a dit que je devais choisir une vie,
comme si je devais choisir un article dans une liste.
Personne ne m'a encore montré de mode d'emploi.
Alors je ne choisis pas, je vis et c'est tout.
A la question "Qu'est-ce que tu vas faire de ta vie?"
ou "Qu'est-ce que tu deviens?"
J'hésite souvent entre "pas grand chose" et "rien"
comme réponses
Bien que la première soit plus exacte
Je ne résiste pas au plaisir de voir la tête
de mon interlocuteur lorsque je lâche la deuxième!
Il est très rare que je ne fasse rien du tout
Mais pour l'opinion extérieure
Si je gagne pas des sous
Ou si je ne suis pas étudiante
Cela veut dire que je ne fais rien de ma vie.
Et bien, Grossière erreur.
Je fais ce que j'ai envie de faire.
Quoi de mieux ?
Don't speak to me this way
Don't ever let me say
Don't leave me again
Don't leave me again
Don't hurt me this way
Don't touch me this way
Don't hurt me again
Don't hurt me again
Don't hurt me this way
Don't touch me this way
Don't hurt me again
Don't hurt me again
Don't let me make the same mistake again
Please, don't let me make the same mistake again
Please, don't let me make the same mistake again
Don't let me make the same mistake again
Oh you never felt this lost before
And the world is closing doors
I never wanted anything more
Experience is the name we give our mistakes.
Oscar Wilde
Lundi 14 février 2011 à 23:03
And then ,
What can I tell you
My Brother
My Killer ?
Leonard Cohen,
Auschwitz-Birkenau,
Comme si le monde avait oublié.
Lundi 14 février 2011 à 21:48
Pour commencer, je n'ai tué personne et je n'ai subi aucun traumatisme grave que ce soit physique ou psychologique. Pour finir, le plus longtemps j'éviterai de tuer quelqu'un ou de subir un grave traumatisme, le plus longtemps je pourrai créer du rêve pour consommation personnelle. Etant donné que cette dernière action est mon passe-temps favori, ne plus être en mesure de l'actionner serait un drame insitutionnel. Pour se faire, il n'y a rien de compliqué. Prenez quelqu'un, en général cela va plus vite avec un sujet féminin, mettez cette dernière au milieu d'un groupe dont les membres sont de diverses origines. Observez-la, poussez-la un peu en lui lançant des défis (intéressants ou pas) et décrivez. Vous obtiendrez la meilleure histoire. Evidemment, il faudra prendre la peine de modifier quelques détails afin que les sujets d'origine se reconnaissent mais qu'il n'y ait pas de points communs pouvant porter préjudice à votre intégrité juridique.
Don't leave me again.