ridiculousthoughts

rUn awAy .

Mercredi 22 juin 2011 à 19:55




Je regarde des photos d'elle.
Elle ne reviendra plus.
Et je ne connais plus personne.
Plus personne ne touchera mes épaules.
Je ne laisserai plus personne le faire.
J'avais raison, elle est partie avec cette partie de moi qui était capable de supporter l'extérieur. 
Elle m'a laissée au bord d'une plaine désertique.
Elle m'a laissé des tonnes de cadavres à déterrer.
Elle m'a vendu ce qui comblait la solitude des jours heureux et du ciel bleu.
A juste titre, elle a repris tout cela.
Sa porte restera entre ouverte. 
Et mon chagrin ne finira pas.



Lundi 20 juin 2011 à 18:53

 

Forever's not so long.


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Dimanche 19 juin 2011 à 22:19




Tu es arrivé là, les mains en sang.
Ne voulant pas t'endormir, de peur de mourir.
C'était pourtant l'occasion rêvée de disparaître. 



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Burn that home
Deepen the kiss
Slash their throats
Turn up the music
Close the doors
Let them in
Craving for his body
Learn to drive
Watch them die
Watch them slow
Cut you into pieces
Deepen the kiss
Turn off the screen
Turn off the lights
Lie on the floor
Hide in your own body
Buy a blue shirt
Don't ever find an end






Samedi 18 juin 2011 à 20:37

 Nous sommes dépassés. Complètement et totalement dépassés. Le nombre nous a perdus. Nous avons cru pouvoir maîtriser l'infini. La partie était perdue d'avance. Nous avons joué. Nous avons inventé des jeux, qui nous ont déchiré le corps et cassé les os. Et nous avons continué. Croyant avoir une quelconque place dans un quelconque endroit. Nous avons continué à dompter ce pouvoir insignifiant. Ce pouvoir nous a parfois rongé le bout de l'être et a parfois pénétré notre mystère à notre insu, prenant place dans un endroit que nous avons cru bien gardé. Nous nous sommes regardés ramper pour revenir au même endroit. Nous avons voulu trouver des solutions. Alors nous avons inventé des problèmes. Nous avons voulu avoir des regrets. Alors nous avons inventé les drogues et la vie de famille. Nous avons découvert que tout était possible dans le cadre de notre image. Nous avons avancé sans vraiment réfléchir. Sans réfléchir du tout. Nous avons appelé tout cela la vie. Et nous l'avons compliquer pour pouvoir chercher des réponses. Sans trouver de bonnes questions. Nous tournons en rond. Mais nous faisons bien plus que cela, bien plus de dégâts que cela. Nous tournons en rond et creusons un trou pour nous enterrer. Détruisant ce qu'il y a d'apaisant. Nous tournons tous en rond. Mais ni dans le même sens, ni avec la même intensité. Nous avons identifier le désespoir et la mélancolie. Nous nous réjouissons de rien mais nous nous plaignons de beaucoup. De beaucoup trop. Nous avons une vie facile. Mais cela ne suffit pas. Cela ne suffira jamais. Et si nous disparaissions, pour changer ?

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p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; text-align: justify; font: 12.0px Arial}

 

Sans la voix, le dialogue est plus audible et seul reste ta main, ses écrits qui finalement remplaceront tes cris. /

Jeudi 16 juin 2011 à 21:15

 
 
 


I am a monster and, I have been set free
 


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Lundi 13 juin 2011 à 11:48

 

They broke me all along,
I'm gonna break everyone on my road.
There's no hide,
nothing could save anyone.



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Samedi 11 juin 2011 à 0:55



 
 I'm having a good time, destroying my body, feeding the system.


 
  



I"ll see you on The dark side of the moon.

Mardi 7 juin 2011 à 1:41

Je ne sais pas dormir. Je suis affamée. J'ai mal au ventre. Il est trop tard. Ou trop tôt. Je ne peux pas descendre. Je réveillerais quelqu'un que je ne veux pas entendre, ni maintenant, ni demain matin. Elle est partie. Elle a dû se laisser mourir sous un arbre. Il ne fallait pas qu'elle prenne un morceau de moi en partant. Elle l'a caché dans un endroit où vous ne me laisserez pas aller. Et à juste titre. J'ai beau m'ennuyer. Je suis seule. Seule à pouvoir dire que j'ai fermé les portes au moment où j'en avais le moins besoin. Tu peux dire que tout va bien, je devrai vivre avec cela. Je devrai le raconter aux suivants et suivantes. Je ne voulais pas me regarder stagner de la sorte, je pensais plutôt me voir mourir plus tôt que prévu. Erreur fatale. Je suis loin de là et je n'ai rien perdu. Et tout me paraît insurmontable et tout le monde me semble inaccessible. Physiquement, je vais très bien, j'ai même arrêté de fumer. Moralement, je ne peux pas me plaindre, je n'ai rien pour m'inquiéter. Et l'histoire commence ici. A une heure du matin, sur une vieille chaise qui sort du grenier des grands-parents, à travers des doigts longs et griffés, J'ai envie de dire que je suis perdu, mais je ne me suis jamais trouvée. Je me suis toujours contentée d'observer et d'imiter. J'ai envie de dire que je ne sais pas qui je suis, mais je ne suis personne à part entière. Je me suis contentée de voler et mentir. Je ne la verrai plus. Je ne la laissera plus rentrer. Je ne la ferai plus sortir. Elle n'essayera plus de planter ses griffes dans ma peau trop épaisse. Je commence à avoir froid et cette musique me rend triste, c'est la seule que j'ai envie d'écouter. Les gens que je connais ne me donnent plus envie de sortir. Je ne les déteste pas. Je ne ressens rien de plus, rien de moi que de l'indifférence quand je les vois ou entends parler d'eux. Certains me regardent, mais ne me voient pas. Certains m'entendent, mais ne m'écoutent pas. De toute façon, je n'ai rien à dire, pas plus à montrer.

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This ain't your home
so I'm showing you the door

Vendredi 3 juin 2011 à 23:10



 If you could smile again,
then I would my Friend.




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Qui viendra dormir sur mes cours ?




Jeudi 2 juin 2011 à 23:42



Les gens absents,
c'est bien ça l'ennuyeux,
ils tournent tout le temps,
là devant nos yeux,
on croyait défaire l'étreinte d'un coup sec
Et puis finalement,
on se réveille avec. 
Juste une question,
est-ce que ça dure toujours ?
Ces manies qu'ils ont 
de tourner autour
On parle en dormant
est-ce que c'est bien normal ?
Les gens absents,
tout leur est égal.



- Francis Cabrel -

Mercredi 1er juin 2011 à 22:44

Regarde-la. Elle meurt d'envies. Mais elle est incapable de les identifier, de les nommer et de les appréhender. Tout se mélange. Tout se construit. Elle trouve les moyens de détruire les autres avec un seul mot de trop. Dans vingt ans, je serai littéralement sourd et aveugle. Je le suis déjà mais métaphoriquement et uniquement envers les jeunes filles de son âge. Il y aura toujours un endroit où rire de tout. Il y aura toujours une place où regarder le ciel dégagé et les millards d'étoiles. Trouve-la. Elle court et s'écorche les genoux. Vers un endroit que tu connais trop bien. Un endroit où tu es trop allé, tout cela pour perdre des litres de sang et trouver des secondes ignorantes. Retiens-la. Elle est à bout. Alors qu'elle n'est qu'au début de toute chose. Elle me tient pour responsable. Je ne lui répondrai pas. Tu lui diras de te remercier le lendemain. Il y a tes regards qui veulent tout dire. Il y a tes mains qui se perdent au bon endroit, au bon moment. Tu sais exactement quoi faire à quel moment pour la maîtriser du bout des doigts. Et tu ne t'en lasseras pas tout de suite. Tu la laisseras s'approcher assez. Tu lui feras voir un semblant de mystère à percer. Tu la retiendras quelques fois. Tu ne répondras pas vraiment à ses questions. Tu resteras évasif quand elle touchera tes émotions atrofiées. Tu la laisseras se perdre sur ta peau. Tu la laisseras créer un monde autour de vous. Tu ne l'habiteras pas. Tu as brûlé tous ces artéfactes. Ne m'appelle pas. Je suis là mais je ne voulais pas te voir dans son sillage. Ne me parle pas. Laisse-moi me détruire en paix. Laisse-moi creuser ta tombe.


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When you're a boy, other boys check you out !

 

Lundi 30 mai 2011 à 21:43


Cette pièce n'est plus vide. Elle était grande, elle l'est toujours. Maintenant, des images t'y hantent. Tu ne passeras plus jamais devant cette porte sans accélérer ton rythme cardiaque. Tu les regardes. Mais elles ne voient absolument rien. Pas un seul carré d'ombre sur cette pelouse. Tout est parfait. Ils n'ont pas remarqué les dizaines de trous que nous y avons fait. Ils n'ont pas remarqué la fissure dans ma nuque qui disparaît et réapparaît dans le creux de mes reins. Et tu ne veux pas bouger. Tu ne veux pas respirer. Tu ne veux pas briser ce cliché, cet instant suspendu. Pour une fois que tu vois ces mains trembler. Je tourne en rond. Mais cette fois, je brûle cette porte et il est à l'intérieur. Je ne serai jamais capable de réparer une artère. Et je n'en dormirai pas. Tu crois pouvoir vivre dans ce monde. Tu crois pouvoir y trouver quelque chose. Tu ne sais pas quoi, mais tu espères sincèrement le trouver. Je me suis décidé une fois pour toute, je n'écrirai plus. Tu peux me dire ce que tu veux, je n'ai plus rien à te dire. Je n'ai rien à offrir. J'ai assez détruit par ici. Je vais voir plus loin s'Il n'y est pas. Et je compte y rester un certain temps. Le temps pour vous de me faire un enfant dans le dos. Et mon inspiration ne vole pas haut ces temps-ci, peut-être a-t-elle soif; j'attends la pluie pour aller courir. Courir après un monstre qui s'est échappé l'autre jour. Il me manque.

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J'en ai marre de ce coeur qui ne bat plus. /

Mercredi 25 mai 2011 à 22:54

 

It's all my fault !
they're both dead to me.

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Look where his right arm goes . two men. no one else.


Mercredi 25 mai 2011 à 1:34

Je ne peux pas vous dire que quelque chose s'est brisé.
Je ne sens rien.
Je ne peux pas vous dire ce qui se passe.
Je peux juste vous dire que mes jambes viennent de se dérober sous moi.
Je regarde l'épisode le plus triste du monde.
Je suis autre part.
Je ne veux pas revenir.
Je ne peux pas bouger de toute façon.
Parfois, tu as tord.
Souvent, tu as mal.
Physiquement, la fragilité n'est pas présente, elle est béante.
J'ai froid.
Et j'aurai toujours froid.

 
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You got your reasons and me I got mine. But all the reasons I gave were just lies to buy myself some time.

Lundi 23 mai 2011 à 22:57


Killing machine. Aimless mornings. Devastating emotion. Blinding lights.
Violent moves. No way out. Endless story. Mad person.
Same game. Scaring rules. Clean rooms. Dead animals. Sad partner.
Blood everywhere. EVERYWHERE !!!
They keep me doing this.
They keep using me to laugh at themselves.
They keep using me to feel alive.
They keep hurting me to be able to sleep.
They keep keeping me to make them useful.
They keep lying to me; they don't want me to see out.
They hold me awake.
They fear I could walk away on them.
Right now, I just want a brand new smartphone.
I am materialistic.
I live pretty good with that.
I think I may be misanthrope.
I know I am not thankful towards my older ones.
I am not happy for being such a being. Pléonasme oblige, je suis une artiste. 


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I'm gonna drink my tears tonight; /
 

Samedi 14 mai 2011 à 13:47

Voilà, ma route s'arrête ici. Pas la tienne. Tu as encore beaucoup d'horreurs à découvrir. Moi, je sais qu'il m'en reste mais j'ai mon compte pour une seule vie. Alors j'arrête ici. Je ne chercherai aucune excuse. Je n'en ai pas besoin. Je vais disparaître et dans sept mois, tu auras oublié mon souvenir. Tu me regardes en riant, en disant que je raconte n'importe quoi. Tu te souviens de celle avant moi ? Un point pour moi. Je n'ai rien oublié. Mais tout a perdu son sens et sa valeur, si jamais il y en a eu. Je me sens vide. Je n'ai même plus peur. Je ne suis pas tout à fait vide. Il me reste tout de même une envie. Celle d'aller voir ailleurs. Simplement d'aller frôler les espaces inachevés et hors de portée. 

I will let you down.
I will make you hurt.

Vendredi 6 mai 2011 à 23:06

Le monde s'effondre. Et je souris. Parce que tes mains sont sur mes épaules. A travers elles, je peux sentir la puissance de ton chagrin. J'ai essuyé tous tes regrets du revers de ma manche bleue. Je n'ai jamais su comment accorder les adjectifs colorés. Je peux voir la terre disparaître sous des flots d'eau violents. Je peux voir les arbres brûler sous une chaleur traversant un bouclier disparu. Je peux sentir ton corps trembler. Je peux distinguer mes mains agripper le vide. Bientôt, il n'y aura plus rien. Et je n'ai aucune question à poser. Je n'ai pas peur. Je ne cherche pas à savoir. Je ne trouve pas à comprendre. Tout ce qui se passe maintenant, ne se passera plus. Tu as tout vu. Tu connais tout. Ton être est entier. Et le mien ne sait pas quoi en faire. Regarde ce qui se déroule devant nos pieds. Ne dis rien. Surtout ne dis rien. Tu sais, mes regrets n'ont jamais eu lieu d'exister. Je n'en parlais pas. Je me suis anéanti. Je ne te voyais pas. J'ai cru pouvoir m'égarer sans réveiller mes terreurs d'enfance. Grossière erreur. J'ai vécu des cauchemars. J'ai rêvé des vies. Ces chansons me faisaient pleurer. Un dimanche matin, je ne pouvais arrêter ces larmes. Car je n'en avais aucune envie. J'ai observé des semblables se découvrir et se détruire, croyant pouvoir se sauver. J'ai appris, juste en me taisant. Mais je n'ai pas compris grand chose. Tes mains sur mes épaules n'éclairent rien, n'obscurcissent rien. Elles vident ces êtres d'un mal qui n'avait aucun dessein précis. Une question était là. Revenais et redécouvrais. Pourquoi la nuit est-elle noire ?





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I knew you'd understand  /Je savais que tu comprendrais

Jeudi 5 mai 2011 à 20:56

Réveille-toi. La lune est partie. Allé! Bouge. Bouge ce corps. Bouge cette chair. Cette poussière sur ta peau et le sang sur ton dos. Je n'ai pas voulu que cela arrive. Je ne peux plus arrêter quoi que ce soit. S'il te plaît. Ne vois-tu pas cette fumée ? Ne peux-tu pas voir cette fumée ? Cours maintenant. Tu ne peux voir la moindre chose. La force a quitté ta main. Tes yeux restent ouverts. Tes paupières sont inquiétantes et immobiles. Je viens de me réveiller et j'ignore où je suis. Il n'y avait que cela à mes pieds. La chaleur d'un soleil froid. Ne m'oblige pas à hurler et réveille-toi maintenant. J'entends des pas. J'écoute des bruits. Je n'identifie rien de connu. Il y a des murs et aucun toit. Il y a des étoiles et pas de nuages. Je suis calme. Je ne lutte pas. Je me sens étonnement bien. Alors que ce sang colle à ton dos. Et que ces poussières emplissent tes poumons. Malgré les bruits, tout est incroyablement simple et accessible. Je n'ai qu'à parler et ces murs tombent. Mais je ne veux pas qu'ils tombent. Je veux rester enfermé. Je ne veux pas avoir à marcher et chercher mon chemin. Je veux rester ici. Ecouter ces bruits inconnus. Je veux continuer à essayer de réveiller ton cadavre. Sans moi, tu n'es plus rien. Je ne reconnais pas ton visage. Et il s'efface peu à peu. Ce n'est pas grave, je le redessinerai avec tes doigts de magicienne. Reviens-moi et ne les laisse pas me libérer si facilement. Je n'ai rien à faire là-dehors. Il n'y a personne d'autre que je veux réveiller. Je me sens bien avec ces mystères disparus. Cette fumée suffira à maintenir cet être en vie. Ta peau suffira à annihiler ma faim et soif. Je ne veux pas sortir. Je ne veux pas vivre sous ces arbres. 

Mardi 3 mai 2011 à 23:04



Il y a des choses que tu oublieras. Et puis d'autres qui te hanteront sans rien dire. Et tu le voudras, ton inconscient t'obligera à rester humain après tout. Je fais ce que je veux avec n'importe qui. Mais tu te crois où Grosse Connasse ? Tu n'es pas dans un de tes mondes parallèles où la jument noire marche à tes côtés. Cette peur s'est évaporée. Tu ne sais même plus d'où elle venait. Tu n'es pas guéri puisque tu n'étais pas malade.Tu es repassé sur cette route. Et toujours rien. Qu'est-ce qu'elle veut? Qu'est-ce qu'elle croit? Personne ne peut la sauver, puisqu'elle n'est pas en danger. Sept points pour cette défense qui a une jambe en moins et une main trop symbolique. Je vais arrêter les massacres et commencer à me détacher du monde extérieur pour maîtriser l'intérieur. A un de ces jours cow-boy...

- I'm not jalous Bendrix. What was it you said ? Lovers ares jalous, husbands are ridiculous. I was never her lover. Not much of a husband either, I'm afraid.

- But you hired our detective.

- I had to find out where she was

- So you know, she wants a divorce.

- That won't be possible, old man.

- You'll contest it?

- No, but it would take at least three months.

- Well, what's three months, Henry, out of a lifetime?

- Half.

- Half of what ?

- Of a lifetime, I'm afraid. Sarah's dying Bendrix. Her doctor called the night she didn't come back... with the results of some tests. I knocked on your door. I imagined you were both there.

-How oddly we behave at such moments...


Un peu plus tard après la nuit
Et je n'ai pas encore dormi
Un peu plus tard après la fin de l'aurore
Mais est-ce que je t'aime encore
Et pourquoi je l'ignore
Mes larmes s'évaporent
Et le silence, le silence est d'or
Quand la ville dort
Je laisse aller le sort
Je n'ai aucun, je n'ai aucun 
Je n'ai aucun remords
Mais si le ciel ne me tombe pas sur la tête
Si la lune a comme un air de fête
Si la neige ne fond pas au printemps
Alors j'aurai peut-être le temps


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Ouvrir un livre et le refermer. Ecrire un livre et le terminer. /

 

 

Dimanche 1er mai 2011 à 0:16



Dylan once said:
When you got nothing,
You got nothing to lose.
Well, I guess I had something...



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