ridiculousthoughts

rUn awAy .

Jeudi 24 janvier 2013 à 19:20

 Obsession, du latin obsidere, assiéger. Pensée ou croyance irrationnelle qui s'impose à l'esprit de façon persistante et incontrôlée.
Merci, c'est tout de suite beaucoup plus claire.
Mais pas évident.
Les gars, sérieusement, what the hell ?  

I want them gone.
All of them. 
As soon as possible.

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Just come back, just once, please. I'm crying out in the middle of the night. All alone in the cold darkness. Who are you ? Who the heck are you ? I want to know. I want to believe. There's too much confusion. You are different. You are real. You are fucking real. And you are so close. But I have absolutely no idea how to reach you. Just come back. Will you do this for me, even just once. 



I live in a city sorrow built.



 

Lundi 14 janvier 2013 à 16:43

 

C'est une lutte constante. C'est épuisant. Et ce n'est pas que lorsque tu poses un pied dehors. C'est entré chez toi. C'est dans la boisson qui remplit ton verre, dans ton assiette, dans ce que tu lis, dans ce que tu regardes. Et ça te vide. Littéralement. Cela stimule ta production de cortisol qui inhibe ton système immunitaire. Tu vois l'ironie là-dedans ? Ils te disent comment vivre. Comment aimer. Comment dormir. Comment courir. Où aller. Quoi faire. Ils ne te montrent jamais les dommages collatéraux. Ils ne te montreront jamais l'état de tes systèmes corporels. Tu ne verras jamais leurs défaillances en première page. Tu ne verras jamais ta moelle épinière s'écrouler sur un tapis rouge. La tienne ou celle d'un autre. Tu ne verras jamais la peau nécrosée sous des montagnes de maquillage agressif. Tu ne sais pas qui ils sont. Tu ne veux même pas vraiment savoir. Breaking news: tu es l'un deux. Tu fais partie de la machine à suicide. Tu la nourris et tu la masses. Tu allumes ses cigares et sers ses whiskeys. Voire même ses gin tonic. Tu la détestes. Les pulsions meurtrières sont presque incontrôlables mais les psychanalystes te gardent à quai. Tu es son ombre. Tu ne peux plus imaginer quoi que ce soit sans qu'elle soit assise sagement dans un coin. Tous tes rêves, même en noir et blanc, même en anglais, même incohérent, en témoignent. C'est épuisant réellement. Et encore, l'insomnie provoque l'insomnie. Tu ne vois toujours pas l'ironie ? Regarde moi, elle est là l'ironie. Je définis l'ironie. Et puis, bon, David Bowie est loin d'être mort finalement. Je suppose qu'on peut peut-être encore survivre un peu. Rejoice


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I've heard a rumor from Ground control
OH NO don't say it's true
They got a message from the action man
"I'm happy, hope you're happy too"

Vendredi 11 janvier 2013 à 20:03




 

C'est un piège où tomberont
Nos enfants quand ils grandiront.
- Gérard Manset




 
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Believe me, Believe me, I'm mad.

"No we don't. We need to stop talking. We talk too much. Instead we have to do something."
 

Lundi 7 janvier 2013 à 17:29



Dégénérescence
. Manipulation.
 





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Have you left a seat for me in this process of elimination ?

 

Vendredi 4 janvier 2013 à 17:08

 

Le dos contre un radiateur brûlant. Les jambes invisibles, invincibles. La mélancolie pesante sur les épaules. Et rassurante. Il reste des souvenirs, des impressions. Tout n'est pas mort. Je n'y comptais pas vraiment, mais c'est réellement rassurant. De se dire. D'entendre ces chansons. De les réécouter. Et de se rappeler tout ce qu'il y avait avant. Que tout était simple et réel. Parenthèses de quatre ans fermées. La vie a repris. L'espoir revit. Il est même peut-être presque blond. Et pas si grand que cela. Il faut vraiment que je m'en aille. Je dois vraiment quitter cet endroit. Je dois suivre cette mélancolie. Lui emboîter le pas. Devenir son ombre. Sa seule tendresse me suffira. J'en ai trop vu partir trop tard. Ils étaient devenus irrécupérables. Insomniaques à force de vouloir massacrer le mal. Au lieu de lui tourner le dos, silencieusement. Et l'insomnie a fini par les avoir morts. Je les aimais tellement. J'ai assez de tristesse pour comprendre. Je n'ai pas la prétention de dire que j'en sais plus. Certainement pas. Mais je sais que je ne fais plus partie du même monde. Et faire demi-tour, il n'y a rien au monde que je souhaite moins. J'ai voulu essayé de rester, d'affronter. Je n'ai fait que construire une bombe à retardement au creux de ma cage thoracique. 


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Now, burning man, please wake up and burn me.

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